Kairos – La Première Nuit

« Merci. »
« De rien. Il est très important que les deux partenaires éprouvent du plaisir. L’orgasme est un gros bonus mais c’est bel et bien le plaisir qui compte. Si tu aimes ce que tu fais, tu seras encore plus attentive au plaisir de l’autre qui lui-même sera plus attentif au tien. Une sorte de cercle vertueux en somme. Il est donc très important que tu signales d’une manière ou d’une autre ce qui te donne du plaisir afin de guider et d’encourager ton partenaire.» Un éclair de malice a alors brillé dans son regard, « puisque tu me parles de plaisir partagé… » Camille m’a déshabillé puis m’a poussé sur son lit. Elle est venue se mettre à califourchon sur moi et m’a roulé une pelle torride. Pour ça en tout cas je n’avais rien à lui apprendre. Elle s’est alors légèrement décollée de moi et tout en continuant à m’embrasser une de ses mains est partie en exploration sur mon torse, descendant lentement, cherchant son chemin vers mon sexe. Elle l’a touché timidement, calmement, le caressant comme pour s’assurer que c’était bien le même que ce matin. La position ne permettant pas une masturbation aisée, Camille a stoppé son baiser et s’est assise à côté de moi sans me lâcher. Elle tenait fermement ma bite en main et me branlait lentement. J’ai alors fermé les yeux et je me suis complétement détendu, autant pour profiter que pour ne pas lui donner l’impression que j’analysais ses faits et gestes. Elle a déposé ses lèvres sur mon gland mais au lieu de me prendre en bouche, elle a commencé une série de baisers longs et appuyés qui, s’ils ne donnaient pas de plaisir évident, remplissaient tout de même leur rôle à merveille car j’attendais avec impatience qu’elle aille plus loin. Je n’ai pas eu à attendre très longtemps car une quinzaine de baisers plus tard ses lèvres se sont enfin entrouvertes accueillant ma bite dure comme du bois dans sa bouche chaude. Camille m’a sucé lentement, doucement, accompagnant sa bouche de sa main s’attardant à chaque remonté sur mon gland.


C’était très bon et je lui signifiais mon plaisir en poussant de légers soupirs à chaque remontée. Camille a continué comme ça pendant peut être cinq minutes, jusqu’à ce que ma main frôle une de ses fesses, la caresse et s’avance vers son sexe. Elle a repris après avoir écarté les jambes pour me faciliter l’accès et j’ai donc pu la caresser pendant qu’elle me suçait. Je l’ai ensuite attirée vers moi et j’ai placé son entre-jambe à hauteur de mon visage pour lui lécher la chatte pendant qu’elle me suçait toujours aussi lentement. Pendant encore quelques minutes nous sommes restés ainsi en 69. Elle avait bien retenu la leçon du matin car à tout moment elle semblait avoir le contrôle de mon érection.
Je l’ai ensuite fait basculer sur le dos, me plaçant au-dessus d’elle et entre ses jambes. Son sourire m’a donné le signal du départ et je l’ai alors lentement pénétrée, ma bite trouvant toute seule le chemin de son vagin trempé. Commença alors la danse des vas et viens, pas trop rapides et le plus constants possible afin d’éveiller son plaisir et de contenir le mien car je comptais bien ne pas en rester à un simple missionnaire ce soir. Je continuais donc mon piston savourant la chaleur de sa grotte détrempée accompagné par les petits gémissements de Camille qui visiblement appréciait beaucoup. Je couvrais son coup et ses épaules, à défaut de ses seins, de baisers, lui susurrant dans le creux de l’oreille, entre deux baisers, qu’elle pouvait faire pareil. Elle a alors fait avec mon lobe comme elle aurait fait avec mon sexe, entamant une pseudo-fellation hyper excitante me faisant accélérer involontairement mes allers retours et transformant du coup ses gémissements en petit râles. Je ralentissais finalement l’allure pour finir par m’arrêter. « Inversons un peu les rôles. Cela te permettra de bien maitriser ton plaisir mais également de laisser plus de place pour des caresses ».
Joignant le geste à la parole, nous avons roulé sur le côté puis Camille est venue s’assoir sur moi.
Tenant ma bite d’une main, elle s’est lentement empalée dessus. Pendant qu’elle me chevauchait avec la vitesse et l’ampleur qui lui convenaient, je caressais ses seins, excitais ses tétons et de temps en temps je flattais une de ses fesses de l’autre main. Je sentais qu’elle était tout à son plaisir, ayant fermé les yeux et basculé la tête en arrière, cherchant visiblement à atteindre l’orgasme car ses mouvements étaient moins constants, souvent accompagnés de roulement de ses hanches. Par moment elle s’empalait même plus profondément sur ma bite comme si elle cherchait à en avoir le plus possible en elle. Mon intuition s’est vue confirmée quand elle s’est masturbée d’une main, caressant son clitoris avec des mouvements circulaires tout en allant et venant sur mon pieu. Sa respiration s’est faite saccadée, haletante, puis soudain ses mains se sont crispées sur la couette, son corps s’est tendu et Camille a laissé éclater sa joie. Après s’être allongée sur moi et s’être calmée, elle m’a dit « Kairos, c’est incroyable, tu m’as fait tellement de bien que j’ai même joui une deuxième fois. Mon Dieu que c’était bon ! » Je décidais de passer en mode cru pour voir comment elle réagissait et puis aussi pour lui montrer ce qu’elle allait peut être devoir faire avec un futur amant.
« Ne t’inquiète pas Camille, ce n’est pas fini. J’en ai encore en réserve pour toi » Sur ceux je me dégageais et la positionnait pour une levrette. J’en profitais pour lécher encore un peu sa chatte, m’enivrer de son odeur et de son goût puis je repassais dans le rôle en la pénétrant un peu plus sauvagement qu’au début. « Tu vas voir ça va te faire un bien fou. Tu vas tellement aimer ma bite qu’à la fin tu me supplieras de ne pas arrêter. »
« Vas-y mon cochon, tu sens comme je suis déjà toute mouillée ? »
Je l’agrippais par les hanches et je commençais à la pilonner plus fortement tout en l’abreuvant de petites insanités auxquelles elle répondait tout en poussant des petits cris. J’avais beaucoup de mal à me retenir, je décidais donc qu’il fallait en finir et je laissais sa rosette pour une autre fois.
« Alors tu l’aime ma bite ? Tu aimes te faire prendre à quatre pattes ? »
« Oh oui ! Elle est tellement bonne, elle me fait tellement de bien. Prend moi, prend moi. Plus fort, plus vite, je veux sentir ta bite jusqu’au fond de moi »
« Ne t’inquiète pas, il n’y a pas que ma bite que tu vas sentir. Tu es tellement mouillée et chaude que je ne vais pas tarder à te balancer la purée »
« Humm ! Mais c’est dans ma bouche que je voudrais sentir ton sperme chaud. Je veux te sucer, viens ici que je puisse me régaler »
Je ressortais donc de sa chatte, au bord de l’explosion, et me plaçait à sa demande devant sa bouche trop content car il était rare que les femmes aiment avoir le goût de leur mouille pendant une pipe. Elle me lécha la bite sur toute la longueur, rapidement mais en passant bien partout pour ne rien en perdre puis elle prit mon gland en bouche tout en me masturbant vigoureusement. Je ne tardais à me répandre dans sa bouche pour la deuxième fois de la journée dans un râle stéréotypé et avec la pensée que j’arriverai peut être à lui faire passer le cap du plan à trois facilement.

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